A Anderlecht, ces dernières semaines ont été rythmées par l'affaire Wasyl et les problèmes de communication de Jacobs. L'entraîneur mauve tient à mettre les choses au clair.
'Il faut toujours tourner 7 fois sa langue dans sa bouche avant de parler', une maxime qu'Ariël Jacobs a du oublier avant de répondre aux journalistes la semaine dernière suite au match nul contre La Gantoise. "J'admets avoir commis une erreur de communication sur la forme mais pas sur le fond. J’ai appelé le journaliste (de Belgacom TV) lundi et lui ait présenté mes excuses. Pour moi l’affaire est close. J'ai appris ma leçon. Point à la ligne ".
Une erreur de communication qu'il a déjà commise plus tôt lorsqu'il annonçait son envie de stopper son poste de T1. Aujourd'hui, il l'avoue lui même : "J'avais déjà dit la même chose il y a dix mois. Quand je l'ai répété, je n'ai pas dû y réfléchir", expliquait-il à la DH. Mais Ariël, te rends tu compte de la portée de tes paroles? C'est tout un stade qui vascillait et des milliers de supporters mauves qui se demandaient: "Pourquoiiiiiii ?"
Trêve de plaisenteries, aujourd'hui Ariël Jacobs est conscient de son erreur de communication et pour se rattrapper il clame haut et fort qu'il est resté le même! "Les supporters se posent des questions sur moi ? Je leur répondrai, encore, que je n'ai pas changé. Si je n'étais plus motivé, je demanderais mon C4 ! Ce serait le minimum de correction à avoir envers le groupe et envers mon employeur", se défendait le coach mauve.
Alors qu'on lui demande s'il continuera d'entraîner Anderlecht, Jacobs répond avec tout le flegme qui le caractérise : "Je ne répondrai pas à cette question. De toute façon, ce n'est pas important. Et nous sommes en septembre, pas en juin...", sacré Ariël!